(22 juillet 2015)
Meyrin (Suisse), Stade des Arbères

Mayence1-5Monaco
Arbitre : Mr Pache (Suisse)Affluence : spectateurs
 
Buts :
Samperio (12e)Martial (18e sp et 19e)
Cavaleiro (30e)
Kurzawa (62e)
Carrillo (80e)
 
Avertissement :
Bell (52e)
 
Compositions :
Loris KARIUS
Jannik HUTH (65e)
Daniel BROSINSKI
Alexander HACK (71e)
Stefan BELL (Cap 37e)
Fabian KALIG (71e)
Niko BUNGERT (Cap)
Leon BALOGUN (37e)
Joo-Ho PARK
Gonzalo JARA (46e) Danny LATZA
Julian BAUMGARTLINGER (46e - Cap 71e)
Fabian FREI
Suat SERDAR (71e)
Christian CLEMENS
Christoph MORITZ (46e)
Todor NEDELEV
Yunus MALLI (46e)
Jairo SAMPERIO
Maximilian BEISTER (46e)
Yoshinori MUTO
Lucas HÖLER (65e)
Danijel SUBASIC (Cap 61e)
Paul NARDI (76e)
Layvin KURZAWA
Uwa ÉCHIÉJILÉ «Elderson» (76e)
Ricardo CARVALHO (Cap)
WALLACE Fortuna Dos Santos (61e)
Andrea RAGGI (Cap 76e)
Almamy TOURÉ
Tiémoué BAKAYOKO (46e)
Mario PASALIC
Adama TRAORÉ (61e)
Fabio Tavares «FABINHO»
Aymen ABDENNOUR (76e)
Joao MOUTINHO
Farès BAHLOULI (54e)
Ivan CAVALEIRO
Hélder COSTA (46e)
Nabil DIRAR
Thomas LEMAR (46e)
Anthony MARTIAL
Guido CARRILLO (61e)
 
Entraineurs :
Martin SCHMIDTLeonardo JARDIM

Les buts monégasques :

18e : Pénalty pour une faute sur Anthony Martial. Le jeune attaquant se fait justice en frappant à ras de terre sur la gauche du gardien, pris à contre-pied.

19e : Récupération de Cavaleiro pour Dirar aux 25m qui lance Martial, à la limite du hors-jeu et dans le dos de la défense. A l'entrée de la surface, il reprend du plat du pied gauche en croisant sa frappe. Karius est parti au premier poteau, dévie de la jambe mais pas assez.

30e : Côté gauche le long de la touche, Ivan Cavaleiro accélère, passe entre deux adversaire, crochet extérieur du droit sur un troisième et adresse une frappe puissante au premier poteau qui bat Karius.

62e : Corner rentrant de Lemar côté droit pour la tête de Layvin Kurzawa, aux 6m, qui coupe la trajectoire au premier poteau et bat Karius.

80e : Corner rentrant de Bahlouli côté gauche, qui met le ballon au point de pénalty, en prenant à contre-pied tout le monde sauf Guido Carrillo qui recule et bat la défense allemande d'une tête piquée.