En accueillant Le Mans, l'AS Monaco doit mettre fin à une série de 3 défaites consécutives (Auxerre, Paris S.G. et Lens) et doit remporter les trois points pour la confiance et sortir de la zone de relégation.
Laszlo Bölöni aligne l'équipe suivante : Roma, Monsoreau, Bolivar, Givet (Cap), Cufré, Bernardi, Perez, Touré, Plasil, Vargas et Koller.
Sur le banc Gakpé fait son retour avec Di Vaio, Menez, Gerard, Dos Santos, Modesto et Ruffier.
En face, Le Mans est privé de trois attaquants : De Melo, Grafite et Bangoura, et aligne une équipe jeune :
Pelé, Bonnart (Cap), Basa, Thomas, Cerdan, Loriot, Coutadeur, Romaric, Matsui, Fanchone et Samassa.
Avant le coup d'envoi, les monégasques se motivent les uns les autres.
La pelouse du Louis-II sera fusante ce soir, en raison de l'averse tombée pendant l'échauffement des équipes.
A noter qu'aucune publicité su sponsor de l'ASM "Bwin.com" n'est visible dans le stade ou sur les maillots, conformément aux décisions de la LFP. Dans le cas contraire, l'ASM aurait eu match perdu et la rencontre ne pouvait avoir lieu...
La première frappe de la rencontre est monégasque : servi par Touré, Bernardi des 25 mètres tire à côté (2e).
Les hommes de Laszlo Bölöni ont pris le match par le bon bout. On sent l'envie d'aller rapidement vers le but de Pelé. Ils pressent et veulent inscrire ce premier but qui leur ferait du bien.
Rien d'autre à signaler jusqu'à la 6ème et un coup-franc de Plasil que Koller ne peut dévier et qui finit dans les bras de Pelé.
Les gardiens ne sont pas inquiétés et le jeu se déroule surtout au milieu du terrain.
C'est d'ailleurs de là que part Yaya Touré. Il prend le ballon, accélère et avance vers les buts de Pelé avec Romaric à côté de lui.
Il s'arrête, revient en arrière, lève la tête et voit ses partenaires appeler le ballon. Il se retourne, réaccélère, rentre dans la surface en passant entre Romaric et Olivier Thomas et se présente face à Pelé qu'il bat du plat du pied droit (1-0, 10e).
Fantastique chevauchée de l'ivoirien, qui ouvre son compteur but avec l'ASM, sur une action personnelle.
Avec ce but inscrit, l'ASM recule et laisse le jeu aux manceaux qui s'installent mais sans que Flavio Roma ne soit mis en danger.
Sur une intervention (tête plongeante) Gaël Givet reste au sol. Il a pris un pied en plein visage et va se faire soigner (13e).
Cela semble sérieux car François Modesto s'échauffe sérieusement, malgré la rentrée du capitaine monégasque.
La pression du Mans, battu par un exploit personnel, se fait surtout sur coups de pieds arrêtés (coup-franc et corner), qur Roma repousse lui-même ou avec l'aide de ces défenseurs.
Mais à la 16e, le ballon revient sur la tête de Cerdan, et le ballon passe à côté du montant droit de Flavio Roma.
Le premier arrêt de gardien est l'oeuvre de Pelé, qui met en corner une frappe de Gonzalo Vargas des 25 mètres après une déviation de Koller (18e).
Le Mans, qui a bien réagit après le but de Yaya Touré, obtient le droit de revenir au score sur un pénalty (23e).
Sylvain Monsoreau a eu un mauvais réflex dans la surface, en ramenant son bras le long du corps pour contrer un ballon et Mr Bré l'a vu. Au moins ce pénalty, même s'il peut être considéré comme sévère, n'est pas imaginaire comme à Lens.
Koffi N'Dri Romaric place le ballon au point de pénalty.
Il prend Flavio Roma à contre-pied et égalise pour Le Mans (1-1, 24e).
Tout est à refaire pour Monaco. Mais ce sera sans son capitaine Givet qui doit sortir en raison de douleurs au crâne. François Modesto prend sa place et Flavio Roma le capitanat (30e).
De chaque côté, on ne s'approche des buts que grâce à des corners et coup-francs, repoussés sans vraiment de danger.
Le plus dangereux est l'oeuvre de Yaya Touré, qui passe juste au-dessus de la transversale, accompagné par Pelé (38e).
De toutes les fautes au milieu du terrain, seul Basa hérite d'un avertissement (43e).
La pause permet à Serge Gakpé de s'échauffer au milieu des jardiniers qui rebouchent les trous formés dans la pelouse par les joueurs.
A la reprise, Gakpé rentre à la place de Plasil qui n'a pas réussit à s'imposer côté droit, et qui a raté ses différents centres (corners, coup-francs).
Peu après, Laszlo Bölöni change de tactique : Leandro Cufré sort et Jérémy Menez entre (52e).
Diego Perez prend le poste d'arrière droit et Yaya Touré devient milieu défensif avec Lucas Bernardi, mais continue ses montées fougueuses.
L'ancien sochalien marque son entrée par un solo terminé d'une frappe enroulée des 20 mètres, dans les bras de Pelé (53e).
Monaco pousse toujours, mais c'est confus à l'image du cafouillage suite à un corner dans la surface.
Fabian Guedes «Bolivar» est à la tombée, mais il doit contrôler de la tête, ne peut frapper et jongle, rate le ballon que récupère Vargas mais est contré (57e).
Le Mans réagit encore sur coup-franc. Roma repousse des poings (60e).
Ne voyant pas comment Monaco pourrait marquer : Koller est toujours dos au but à remiser les longs ballons, Menez joue à gauche et Gakpé aussi pendant que Vargas tourne autour du géant tchèque, Yaya Touré repart de l'avant et adresse une grosse frappe à ras de terre. C'est un mètre à côté du montant droit de Pelé (65e).
Yaya Touré veut retenter sa chance sur un coup-franc axial, à 25 mètres des buts. Menez lui prend le ballon et le tire au-dessus (68e).
Le Mans qui se satisfait du nul tente de remporter le match en contre.
Coutadeur frappe des 30 mètres, dans les bras de Roma (73e) et Loriot oblige ce même Roma à claquer en corner (75e) son tir lobé.
Et que dire de la frappe de Samassa, déviée par Modesto qui prend Roma à contre-pied et que tout le stade (hormis la vingtaine de supporters manceaux) est tout heureux de voir passer à quelques centimètres du poteau droit (81e).
Le temps passant et les monégasques n'étant toujours pas décisif collectivement (Menez oubliant très souvent ses partenaires pour partir dans des dribbles voués à l'échec, Gakpé oubliant toujours de venir côté droit, Vargas et Koller au milieu de cinq sarthois), la victoire semble impossible.
Mais impossible n'est pas monégasque.
Sur un contre mené par Vargas, il sert côté droit (!) Serge Gakpé qui attend et centre. Contré, il recule, récupère à nouveau le ballon et met en retrait, entre deux défenseurs, pour Jérémy Menez qui reprend du plat du pied. Pelé touche le ballon mais ne peut l'empêcher de rentrer dans son but (2-1, 82e).
Pour la fin de match, sous la pluie, Monaco gère et fait tourner le ballon. Le Mans diminué offensivement ne s'apporchera plus des buts asémistes et l'AS Monaco remporte sa deuxième victoire de la saison.
La manière n'y est pas, mais le principal ce sont les trois points pris qui font du bien au moral et au classement (remontée de la 19e à la 16e place).
Prochaine rencontre au Louis-II le 21 octobre face à Toulouse, mais avant ce match, un déplacement chez le voisin Bordeaux.
Laszlo Bölöni aligne l'équipe suivante : Roma, Monsoreau, Bolivar, Givet (Cap), Cufré, Bernardi, Perez, Touré, Plasil, Vargas et Koller.
Sur le banc Gakpé fait son retour avec Di Vaio, Menez, Gerard, Dos Santos, Modesto et Ruffier.
En face, Le Mans est privé de trois attaquants : De Melo, Grafite et Bangoura, et aligne une équipe jeune :
Pelé, Bonnart (Cap), Basa, Thomas, Cerdan, Loriot, Coutadeur, Romaric, Matsui, Fanchone et Samassa.
Avant le coup d'envoi, les monégasques se motivent les uns les autres.
La pelouse du Louis-II sera fusante ce soir, en raison de l'averse tombée pendant l'échauffement des équipes.
A noter qu'aucune publicité su sponsor de l'ASM "Bwin.com" n'est visible dans le stade ou sur les maillots, conformément aux décisions de la LFP. Dans le cas contraire, l'ASM aurait eu match perdu et la rencontre ne pouvait avoir lieu...
La première frappe de la rencontre est monégasque : servi par Touré, Bernardi des 25 mètres tire à côté (2e).
Les hommes de Laszlo Bölöni ont pris le match par le bon bout. On sent l'envie d'aller rapidement vers le but de Pelé. Ils pressent et veulent inscrire ce premier but qui leur ferait du bien.
Rien d'autre à signaler jusqu'à la 6ème et un coup-franc de Plasil que Koller ne peut dévier et qui finit dans les bras de Pelé.
Les gardiens ne sont pas inquiétés et le jeu se déroule surtout au milieu du terrain.
C'est d'ailleurs de là que part Yaya Touré. Il prend le ballon, accélère et avance vers les buts de Pelé avec Romaric à côté de lui.
Il s'arrête, revient en arrière, lève la tête et voit ses partenaires appeler le ballon. Il se retourne, réaccélère, rentre dans la surface en passant entre Romaric et Olivier Thomas et se présente face à Pelé qu'il bat du plat du pied droit (1-0, 10e).
Fantastique chevauchée de l'ivoirien, qui ouvre son compteur but avec l'ASM, sur une action personnelle.
Avec ce but inscrit, l'ASM recule et laisse le jeu aux manceaux qui s'installent mais sans que Flavio Roma ne soit mis en danger.
Sur une intervention (tête plongeante) Gaël Givet reste au sol. Il a pris un pied en plein visage et va se faire soigner (13e).
Cela semble sérieux car François Modesto s'échauffe sérieusement, malgré la rentrée du capitaine monégasque.
La pression du Mans, battu par un exploit personnel, se fait surtout sur coups de pieds arrêtés (coup-franc et corner), qur Roma repousse lui-même ou avec l'aide de ces défenseurs.
Mais à la 16e, le ballon revient sur la tête de Cerdan, et le ballon passe à côté du montant droit de Flavio Roma.
Le premier arrêt de gardien est l'oeuvre de Pelé, qui met en corner une frappe de Gonzalo Vargas des 25 mètres après une déviation de Koller (18e).
Le Mans, qui a bien réagit après le but de Yaya Touré, obtient le droit de revenir au score sur un pénalty (23e).
Sylvain Monsoreau a eu un mauvais réflex dans la surface, en ramenant son bras le long du corps pour contrer un ballon et Mr Bré l'a vu. Au moins ce pénalty, même s'il peut être considéré comme sévère, n'est pas imaginaire comme à Lens.
Koffi N'Dri Romaric place le ballon au point de pénalty.
Il prend Flavio Roma à contre-pied et égalise pour Le Mans (1-1, 24e).
Tout est à refaire pour Monaco. Mais ce sera sans son capitaine Givet qui doit sortir en raison de douleurs au crâne. François Modesto prend sa place et Flavio Roma le capitanat (30e).
De chaque côté, on ne s'approche des buts que grâce à des corners et coup-francs, repoussés sans vraiment de danger.
Le plus dangereux est l'oeuvre de Yaya Touré, qui passe juste au-dessus de la transversale, accompagné par Pelé (38e).
De toutes les fautes au milieu du terrain, seul Basa hérite d'un avertissement (43e).
La pause permet à Serge Gakpé de s'échauffer au milieu des jardiniers qui rebouchent les trous formés dans la pelouse par les joueurs.
A la reprise, Gakpé rentre à la place de Plasil qui n'a pas réussit à s'imposer côté droit, et qui a raté ses différents centres (corners, coup-francs).
Peu après, Laszlo Bölöni change de tactique : Leandro Cufré sort et Jérémy Menez entre (52e).
Diego Perez prend le poste d'arrière droit et Yaya Touré devient milieu défensif avec Lucas Bernardi, mais continue ses montées fougueuses.
L'ancien sochalien marque son entrée par un solo terminé d'une frappe enroulée des 20 mètres, dans les bras de Pelé (53e).
Monaco pousse toujours, mais c'est confus à l'image du cafouillage suite à un corner dans la surface.
Fabian Guedes «Bolivar» est à la tombée, mais il doit contrôler de la tête, ne peut frapper et jongle, rate le ballon que récupère Vargas mais est contré (57e).
Le Mans réagit encore sur coup-franc. Roma repousse des poings (60e).
Ne voyant pas comment Monaco pourrait marquer : Koller est toujours dos au but à remiser les longs ballons, Menez joue à gauche et Gakpé aussi pendant que Vargas tourne autour du géant tchèque, Yaya Touré repart de l'avant et adresse une grosse frappe à ras de terre. C'est un mètre à côté du montant droit de Pelé (65e).
Yaya Touré veut retenter sa chance sur un coup-franc axial, à 25 mètres des buts. Menez lui prend le ballon et le tire au-dessus (68e).
Le Mans qui se satisfait du nul tente de remporter le match en contre.
Coutadeur frappe des 30 mètres, dans les bras de Roma (73e) et Loriot oblige ce même Roma à claquer en corner (75e) son tir lobé.
Et que dire de la frappe de Samassa, déviée par Modesto qui prend Roma à contre-pied et que tout le stade (hormis la vingtaine de supporters manceaux) est tout heureux de voir passer à quelques centimètres du poteau droit (81e).
Le temps passant et les monégasques n'étant toujours pas décisif collectivement (Menez oubliant très souvent ses partenaires pour partir dans des dribbles voués à l'échec, Gakpé oubliant toujours de venir côté droit, Vargas et Koller au milieu de cinq sarthois), la victoire semble impossible.
Mais impossible n'est pas monégasque.
Sur un contre mené par Vargas, il sert côté droit (!) Serge Gakpé qui attend et centre. Contré, il recule, récupère à nouveau le ballon et met en retrait, entre deux défenseurs, pour Jérémy Menez qui reprend du plat du pied. Pelé touche le ballon mais ne peut l'empêcher de rentrer dans son but (2-1, 82e).
Pour la fin de match, sous la pluie, Monaco gère et fait tourner le ballon. Le Mans diminué offensivement ne s'apporchera plus des buts asémistes et l'AS Monaco remporte sa deuxième victoire de la saison.
La manière n'y est pas, mais le principal ce sont les trois points pris qui font du bien au moral et au classement (remontée de la 19e à la 16e place).
Prochaine rencontre au Louis-II le 21 octobre face à Toulouse, mais avant ce match, un déplacement chez le voisin Bordeaux.
Véro & Xav au Louis-II.