L'AS Monaco est une nouvelle fois au pied du mur, et doit prendre les trois points face à Toulouse, seule équipe à avoir pris un point face à Lyon et déjà deux fois victorieux en cinq déplacements.
Dix-huitièmes, les joueurs monégasques doivent bouger les visiteurs. Même la sono du stade Louis-II encourage les hommes de Laszlo Bölöni en diffusant le "Allumez le feu" de Johnny Hallyday.
Au moment des entrées des équipes, les toulousains n'ont pas leur second maillot, rose, jugé trop semblable à celui de l'ASM mais arborent un maillot bleu prêté par leurs hôtes du soir.
Les joueurs monégasques prennent immédiatement la direction des buts de Douchez, et pousse. Malheureusement, ils sont, à chaque fois, pris au piège du hors-jeu.
Néanmoins Koller place un coup de tête sur un centre venu de Cufré, sans trouver le cadre (5e).
Toulouse tient bon, et place quelques mèches en contre.
Sur l'un d'eux, choc tête contre tête entre Givet et Bergougnoux (9e). Les deux hommes se relèvent et reviennent sur le terrain.
D'ailleurs l'ancien lyonnais retrouve le ballon, servi par Mathieu, dans l'axe à 25 mètres. Il efface Plasil avec un petit pont et frappe puissamment.
Son ballon part sous la barre de Flavio Roma resté immobile sur sa ligne (0-1, 12e).
C'est une fois de plus mal parti pour les Rouges et Blancs. Ils ont cédés sur le premier pétard toulousain.
Il faut réagir, maintenant, et c'est ce que Monaco fait :
Parti depuis son camp, Yaya Touré avance, s'appuie sur Jaroslav Plasil qui lui remet. D'un extérieur du pied droit, il trouve, par-dessus la défense, Marco Di Vaio, pas hors-jeu au contraire de son coéquipier Jan Koller "hors-jeu passif".
L'italien se présente seul face à Douchez qu'il bat d'un tir croisé, pour l'égalisation de l'ASM (1-1, 14e).
Le but toulousain aurait-il mis le feu aux poudres ?
Monaco va-t-il continuer à aller de l'avant ?
Le jeu revient au milieu de terrain, et les portiers ne sont toujours pas employés... jusqu'à ce que Fabian Guedes «Bolivar» n'appuie pas assez sa passe en retrait pour Flavio Roma, qui heureusement, parvient à dégager in extremis devant Elmander (19e).
Sur son côté droit, Leandro Cufré prend le dessus sur Mansaré, qui le fauche et est averti (21e).
Sur le coup-franc botté par Touré, la tête de Gaël Givet passe largement au-dessus (22e).
Toulouse attend toujours, fort du point du nul.
Le milieu de terrain monégasque (Lucas Bernardi, Jaroslav Plasil et Yaya Touré) harcèle les violets, bleus ce soir.
Cufré apporte encore le surnombre en attaque. Sur un nouveau centre, il trouve Koller au second poteau qui remet de la tête pour Di Vaio au premier, qui frappe en prenant le ballon du bout pied. Douchez est battu, mais le tir est trop mou, le ballon roule en direction du but mais Arribagé à tout le loisir de revenir pour dégager au plus loin (24e).
Dommage que Di Vaio n'ait pas pu rajouter une deuxième bûche au tableau d'affichage...
Toulouse sent la fumée de la révolte monégasque et décide de joueur un peu plus haut.
Côté gauche, Mathieu centre pour Batllès qui reprend, au-dessus (25e).
Et la pelouse du Louis-II commence à céder, surtout du côté de Sylvain Monsoreau qui bataille face au bucheron suédois Elmander.
De l'autre côté, ça s'échauffe aussi entre Mansaré et Cufré... Ça sent le jaune, encore....
Nouvelle attaque des hauts-garonnais. Centre d'Elmander pour le second poteau. Cufré trop court ne peut reprendre, ce qui n'est pas le cas de Batllès qui se jette et tacle. Flavio Roma est tout heureux de voir le ballon raser son poteau droit (31e).
Monaco sait qu'il doit faire attention aux contres, mais doit aller chercher les trois points.
Les joueurs tentent énormément mais ne réussissent pas grand chose : les unes-deux sont interceptés, et quand ça passe, ce sont les Koller et surtout Di Vaio qui sont signalés hors-jeu.
Mais quoiqu'il en soit, le rythme s'accélère, aussi du côté de Toulouse.
Le but de Bergougnoux "l'incendiaire" donne des idées à Emana de 30 mètres. Il attrape la tribune (36e).
Puis à Mathieu des 20 mètres. Roma met en corner (37e).
Plasil leur répond des 30 mètres. Au-dessus aussi (39e).
Entre Mansaré et Cufré, ça sent toujours autant le roussi. Cette fois c'est l'argentin qui est averti alors qu'il vient de passer par-dessus son adversaire et qu'il jouait le ballon (41e). Peut-être était-ce trop rugueux ?
Les dernières étincelles de la première période sont monégasques.
Di Vaio est lancé en profondeur, trop, et son tir est contré en corner par Aubey (45e).
Marco Di Vaio encore lui, lancé encore par Jan Koller tente une reprise de volée des 20 mètres. A côté, de peu, des buts de Douchez (45e+1).
A la pause, les jardiniers ont du boulot pour reboucher tous les trous dans la pelouse.
En manque de confiance, les monégasques semblent s'énerver de ne pas trouver la solution.
Le public commence à manifester son impatience et les premiers sifflets se font entendre... alors que les joueurs ont encore plus besoin de soutien en ce moment.
Au retour des vestaires, ce sont encore les monégaques qui tentent d'allumer des brindilles pour faire partir la saison. Mais ça ne prend pas...
Coup-franc axial des 25 mètres pour une faute sur Yaya Touré. Marco Di Vaio le frappe. Pas assez puissant et Douchez capte facilement (47e).
Cufré doit respirer, Mansaré est remplacé par Fabinho (52e).
Coup-franc repoussé par Douchez. Bernardi récupère, donne à Di Vaio qui remet dans l'axe pour Bolivar de la tête... à côté (53e).
Monaco pousse encore, et Bergougnoux est averti pour anti-jeu sur Plasil (57e).
Accélération de Jérémy Menez, côté droit, qui part avec Aubey à ses basques. Arrivé à l'entrée de la surface, il frappe à ras de terre. Son ballon est contré (Aubey ? Douchez ?) et il termine sa course au ras du poteau droit du gardien, et obtient un corner (61e).
Il est tiré par Plasil et en obtient un autre.
Le nouveau centre du tchèque trouve son compatriote Koller qui s'envole au-dessus d'Arribagé et reprend d'une tête piquée.
Douchez repousse d'une manchette, le ballon reste devant lui et est dégagé, à nouveau en corner qui ne donnera rien (62e).
Jan Koller semble très contrarié par sa non-réussite et montre son énervement par de grands gestes. De plus, il commence à être pris en grippe par certains "supporters" car il ne réussit pas ce qu'il entreprend.
Le premier buteur de la soirée, Bergougnoux, cède sa place à Bonnet (66e), après avoir frappé au-dessus de loin (65e).
Le nouveau venu se montre immédiatement. Il allume Flavio Roma des 30 mètres, qui repousse, dans les pieds de Fabinho. Contré, il obtient un corner (68e).
Bonnet remet ça une minute plus tard. Des 25 mètres, il rate le cadre (69e).
Monaco n'arrive plus à inquiêter Douchez, commence à balancer pour Koller très souvent battu par Arribagé dans le jeu aérien.
D'autant plus qu'il est peu servi et vient chercher quelques ballons en retrait qu'il perd lors du pressing des violets-bleus.... Il se fait siffler.
N'y aurait-il plus de gaz dans le briquet de Laszlo Bölöni ?
Du coup, il change Jérémy Menez, sorti sous les sifflets du Louis-II (peut-être en raison de son égoïsme et de ses chevauchées solitaires ou alors manifestant la non-sortie de Koller), par Serge Gakpé entré sous les acclamations car jugé comme le "sauveur" en tant que meilleur gratteur d'allumettes du championnat (69e).
Coup-franc de Yaya Touré, dégagé par Elmander de la tête (73e).
Centre de Di Vaio pour Koller dont la tête passe au-dessus (74e).
Sur l'action suivante, pour Toulouse, Flavio Roma sort devant Elmander et ne se jette pas. Il s'éxile sur un côté et met en retrait... Leandro Cufré met en corner (74e).
Avertissement sans frais pour ce coup de chaud toulousain.
Peu importe, il faut les trois points pour Monaco.
Une-deux Gakpé-Plasil. Le jeune monégasque tire à côté (77e).
Laszlo Bölöni fait ses deux derniers changements : Gonzalo Vargas remplace Marco Di Vaio et Gerard Lopez Segurra Jan Koller (78e).
Les deux sortent sous quelques applaudissements et les sifflets de nombreux "supporters" du Louis-II trop gâtés par le passé, ce qui énerve le géant tchèque qui s'en prend aux panneaux publicitaires, qu'il transperce d'une de ses échasses.
Le petit bois qu'il vient de faire est bien sec, le feu va prendre !
Ce n'est pas pour Serge Gakpé, lancé en profondeur et repris par Douchez, qui se couche devant lui (83e).
Par contre, c'est le bûcheron Elmander, en bon pyromane, qui met le feu à la maison Rouge et Blanche.
Lancé côté gauche, Elmander à la lutte avec Gaël Givet, l'élimine facilement et du plat du pied droit, loge le ballon dans le petit-filet opposé de Flavio Roma (1-2, 84e).
Baup ne veut pas que son équipe réédite la même erreur qu'àprès l'ouverture du score et remplace le second buteur par Sirieix, milieu de terrain défensif (85e).
Mené, Monaco se jette à l'avant, obtient des coups de pieds arrêtés qui ne donnent rien, qui sont suivis par des contres rapides.
Leandro Cufré empêche Bonnet de passer et le tacle durement, en lui prenant sa jambe d'appui. Il est averti pour la seconde fois et doit quitter la pelouse (89e).
Le coup-franc de Batllès passe au-dessus (90e).
Sur le tout dernier dans le temps additionnel, tout le monde monte sauf Flavio Roma dans ses buts et Lucas Bernardi dans le rond central.
Le ballon est dégagé, et Emana est lancé en profondeur avec Lucas Bernardi cuit qui ne peut le rattrapper.
Il arrive face à Roma qu'il bat facilement en lui glissant le ballon sous le ventre (1-3, 90e+4).
Fin de match sous les huées du stade, alors que les monégasques ont tout tenté, et pas réussit grand chose par manque de lucidité, de confiance et un excès d'énervement.
Finalement, à trop jouer avec le feu, ils se sont brûler les doigts.
Par contre, au classement, l'incendie fait rage dans le club : dix-neuvième !
Laszlo Bölöni est menacé et un autre pompier pourrait être rapidement nommer, après réflexion des dirigeants de l'ASM, pour tenter d'éteidre tout ça et rebâtir.
En attendant les joueurs seront mardi à Reims en Coupe de la Ligue, et joueront samedi leurs têtes à Nantes, lanterne rouge à un point derrière Monaco.
Dix-huitièmes, les joueurs monégasques doivent bouger les visiteurs. Même la sono du stade Louis-II encourage les hommes de Laszlo Bölöni en diffusant le "Allumez le feu" de Johnny Hallyday.
Au moment des entrées des équipes, les toulousains n'ont pas leur second maillot, rose, jugé trop semblable à celui de l'ASM mais arborent un maillot bleu prêté par leurs hôtes du soir.
Les joueurs monégasques prennent immédiatement la direction des buts de Douchez, et pousse. Malheureusement, ils sont, à chaque fois, pris au piège du hors-jeu.
Néanmoins Koller place un coup de tête sur un centre venu de Cufré, sans trouver le cadre (5e).
Toulouse tient bon, et place quelques mèches en contre.
Sur l'un d'eux, choc tête contre tête entre Givet et Bergougnoux (9e). Les deux hommes se relèvent et reviennent sur le terrain.
D'ailleurs l'ancien lyonnais retrouve le ballon, servi par Mathieu, dans l'axe à 25 mètres. Il efface Plasil avec un petit pont et frappe puissamment.
Son ballon part sous la barre de Flavio Roma resté immobile sur sa ligne (0-1, 12e).
C'est une fois de plus mal parti pour les Rouges et Blancs. Ils ont cédés sur le premier pétard toulousain.
Il faut réagir, maintenant, et c'est ce que Monaco fait :
Parti depuis son camp, Yaya Touré avance, s'appuie sur Jaroslav Plasil qui lui remet. D'un extérieur du pied droit, il trouve, par-dessus la défense, Marco Di Vaio, pas hors-jeu au contraire de son coéquipier Jan Koller "hors-jeu passif".
L'italien se présente seul face à Douchez qu'il bat d'un tir croisé, pour l'égalisation de l'ASM (1-1, 14e).
Le but toulousain aurait-il mis le feu aux poudres ?
Monaco va-t-il continuer à aller de l'avant ?
Le jeu revient au milieu de terrain, et les portiers ne sont toujours pas employés... jusqu'à ce que Fabian Guedes «Bolivar» n'appuie pas assez sa passe en retrait pour Flavio Roma, qui heureusement, parvient à dégager in extremis devant Elmander (19e).
Sur son côté droit, Leandro Cufré prend le dessus sur Mansaré, qui le fauche et est averti (21e).
Sur le coup-franc botté par Touré, la tête de Gaël Givet passe largement au-dessus (22e).
Toulouse attend toujours, fort du point du nul.
Le milieu de terrain monégasque (Lucas Bernardi, Jaroslav Plasil et Yaya Touré) harcèle les violets, bleus ce soir.
Cufré apporte encore le surnombre en attaque. Sur un nouveau centre, il trouve Koller au second poteau qui remet de la tête pour Di Vaio au premier, qui frappe en prenant le ballon du bout pied. Douchez est battu, mais le tir est trop mou, le ballon roule en direction du but mais Arribagé à tout le loisir de revenir pour dégager au plus loin (24e).
Dommage que Di Vaio n'ait pas pu rajouter une deuxième bûche au tableau d'affichage...
Toulouse sent la fumée de la révolte monégasque et décide de joueur un peu plus haut.
Côté gauche, Mathieu centre pour Batllès qui reprend, au-dessus (25e).
Et la pelouse du Louis-II commence à céder, surtout du côté de Sylvain Monsoreau qui bataille face au bucheron suédois Elmander.
De l'autre côté, ça s'échauffe aussi entre Mansaré et Cufré... Ça sent le jaune, encore....
Nouvelle attaque des hauts-garonnais. Centre d'Elmander pour le second poteau. Cufré trop court ne peut reprendre, ce qui n'est pas le cas de Batllès qui se jette et tacle. Flavio Roma est tout heureux de voir le ballon raser son poteau droit (31e).
Monaco sait qu'il doit faire attention aux contres, mais doit aller chercher les trois points.
Les joueurs tentent énormément mais ne réussissent pas grand chose : les unes-deux sont interceptés, et quand ça passe, ce sont les Koller et surtout Di Vaio qui sont signalés hors-jeu.
Mais quoiqu'il en soit, le rythme s'accélère, aussi du côté de Toulouse.
Le but de Bergougnoux "l'incendiaire" donne des idées à Emana de 30 mètres. Il attrape la tribune (36e).
Puis à Mathieu des 20 mètres. Roma met en corner (37e).
Plasil leur répond des 30 mètres. Au-dessus aussi (39e).
Entre Mansaré et Cufré, ça sent toujours autant le roussi. Cette fois c'est l'argentin qui est averti alors qu'il vient de passer par-dessus son adversaire et qu'il jouait le ballon (41e). Peut-être était-ce trop rugueux ?
Les dernières étincelles de la première période sont monégasques.
Di Vaio est lancé en profondeur, trop, et son tir est contré en corner par Aubey (45e).
Marco Di Vaio encore lui, lancé encore par Jan Koller tente une reprise de volée des 20 mètres. A côté, de peu, des buts de Douchez (45e+1).
A la pause, les jardiniers ont du boulot pour reboucher tous les trous dans la pelouse.
En manque de confiance, les monégasques semblent s'énerver de ne pas trouver la solution.
Le public commence à manifester son impatience et les premiers sifflets se font entendre... alors que les joueurs ont encore plus besoin de soutien en ce moment.
Au retour des vestaires, ce sont encore les monégaques qui tentent d'allumer des brindilles pour faire partir la saison. Mais ça ne prend pas...
Coup-franc axial des 25 mètres pour une faute sur Yaya Touré. Marco Di Vaio le frappe. Pas assez puissant et Douchez capte facilement (47e).
Cufré doit respirer, Mansaré est remplacé par Fabinho (52e).
Coup-franc repoussé par Douchez. Bernardi récupère, donne à Di Vaio qui remet dans l'axe pour Bolivar de la tête... à côté (53e).
Monaco pousse encore, et Bergougnoux est averti pour anti-jeu sur Plasil (57e).
Accélération de Jérémy Menez, côté droit, qui part avec Aubey à ses basques. Arrivé à l'entrée de la surface, il frappe à ras de terre. Son ballon est contré (Aubey ? Douchez ?) et il termine sa course au ras du poteau droit du gardien, et obtient un corner (61e).
Il est tiré par Plasil et en obtient un autre.
Le nouveau centre du tchèque trouve son compatriote Koller qui s'envole au-dessus d'Arribagé et reprend d'une tête piquée.
Douchez repousse d'une manchette, le ballon reste devant lui et est dégagé, à nouveau en corner qui ne donnera rien (62e).
Jan Koller semble très contrarié par sa non-réussite et montre son énervement par de grands gestes. De plus, il commence à être pris en grippe par certains "supporters" car il ne réussit pas ce qu'il entreprend.
Le premier buteur de la soirée, Bergougnoux, cède sa place à Bonnet (66e), après avoir frappé au-dessus de loin (65e).
Le nouveau venu se montre immédiatement. Il allume Flavio Roma des 30 mètres, qui repousse, dans les pieds de Fabinho. Contré, il obtient un corner (68e).
Bonnet remet ça une minute plus tard. Des 25 mètres, il rate le cadre (69e).
Monaco n'arrive plus à inquiêter Douchez, commence à balancer pour Koller très souvent battu par Arribagé dans le jeu aérien.
D'autant plus qu'il est peu servi et vient chercher quelques ballons en retrait qu'il perd lors du pressing des violets-bleus.... Il se fait siffler.
N'y aurait-il plus de gaz dans le briquet de Laszlo Bölöni ?
Du coup, il change Jérémy Menez, sorti sous les sifflets du Louis-II (peut-être en raison de son égoïsme et de ses chevauchées solitaires ou alors manifestant la non-sortie de Koller), par Serge Gakpé entré sous les acclamations car jugé comme le "sauveur" en tant que meilleur gratteur d'allumettes du championnat (69e).
Coup-franc de Yaya Touré, dégagé par Elmander de la tête (73e).
Centre de Di Vaio pour Koller dont la tête passe au-dessus (74e).
Sur l'action suivante, pour Toulouse, Flavio Roma sort devant Elmander et ne se jette pas. Il s'éxile sur un côté et met en retrait... Leandro Cufré met en corner (74e).
Avertissement sans frais pour ce coup de chaud toulousain.
Peu importe, il faut les trois points pour Monaco.
Une-deux Gakpé-Plasil. Le jeune monégasque tire à côté (77e).
Laszlo Bölöni fait ses deux derniers changements : Gonzalo Vargas remplace Marco Di Vaio et Gerard Lopez Segurra Jan Koller (78e).
Les deux sortent sous quelques applaudissements et les sifflets de nombreux "supporters" du Louis-II trop gâtés par le passé, ce qui énerve le géant tchèque qui s'en prend aux panneaux publicitaires, qu'il transperce d'une de ses échasses.
Le petit bois qu'il vient de faire est bien sec, le feu va prendre !
Ce n'est pas pour Serge Gakpé, lancé en profondeur et repris par Douchez, qui se couche devant lui (83e).
Par contre, c'est le bûcheron Elmander, en bon pyromane, qui met le feu à la maison Rouge et Blanche.
Lancé côté gauche, Elmander à la lutte avec Gaël Givet, l'élimine facilement et du plat du pied droit, loge le ballon dans le petit-filet opposé de Flavio Roma (1-2, 84e).
Baup ne veut pas que son équipe réédite la même erreur qu'àprès l'ouverture du score et remplace le second buteur par Sirieix, milieu de terrain défensif (85e).
Mené, Monaco se jette à l'avant, obtient des coups de pieds arrêtés qui ne donnent rien, qui sont suivis par des contres rapides.
Leandro Cufré empêche Bonnet de passer et le tacle durement, en lui prenant sa jambe d'appui. Il est averti pour la seconde fois et doit quitter la pelouse (89e).
Le coup-franc de Batllès passe au-dessus (90e).
Sur le tout dernier dans le temps additionnel, tout le monde monte sauf Flavio Roma dans ses buts et Lucas Bernardi dans le rond central.
Le ballon est dégagé, et Emana est lancé en profondeur avec Lucas Bernardi cuit qui ne peut le rattrapper.
Il arrive face à Roma qu'il bat facilement en lui glissant le ballon sous le ventre (1-3, 90e+4).
Fin de match sous les huées du stade, alors que les monégasques ont tout tenté, et pas réussit grand chose par manque de lucidité, de confiance et un excès d'énervement.
Finalement, à trop jouer avec le feu, ils se sont brûler les doigts.
Par contre, au classement, l'incendie fait rage dans le club : dix-neuvième !
Laszlo Bölöni est menacé et un autre pompier pourrait être rapidement nommer, après réflexion des dirigeants de l'ASM, pour tenter d'éteidre tout ça et rebâtir.
En attendant les joueurs seront mardi à Reims en Coupe de la Ligue, et joueront samedi leurs têtes à Nantes, lanterne rouge à un point derrière Monaco.
Véro & Xav au Louis-II.