Pour cette 5ème journée, l'AS Monaco reçoit Le Mans, actuel premier ex-aequo, avec trois points d'avance sur leurs hotes du soir.
Dans le groupe retenu, il manque bien évidemment Mohamed Kallon (laissé libre par le club), Jaroslav Plasil (transféré à Osasuna), Anderson Luis De Carvalho «Nenê» (pas qualifié), Flavio Roma et Camel Meriem blessés.
Les remplaçants seront Emmanuel Vallaurio, Jérémy Berthod, Massamba Lô Sambou, Sylvain Monsoreau, Juan Pablo Pino, Serge Gakpé, Gonzalo Vargas.
Vincent Muratori est une nouvelle fois titularisé sur le côté gauche, Jerko Leko occupera la position de milieu droit.
Les premières impressions sont confirmées par l'annonce des deux équipes :
Avant la rencontre, Le Mans est déjà venu 3 fois en championnat au Louis-II, pour autant de défaite. Que ça continue encore !
Après le traditionnel avant-match, les entraîneurs vont vers leur banc, Ricardo en profite pour donner ses derniers conseils.
Le coup d'envoi est donné par les joueurs du Mans et leur duo offensif brésilien De Melo-Grafite, auteurs de 6 buts sur les 7 marqués par leur formation.
En face, Jan Koller et Frédéric Piquionne sont associés pour la première fois cette saison, le second se promenant sur les flancs de l'attaque et n'hésitant pas à venir aider ses partenaires en pressant la relance.
Monaco perd trop rapidement le ballon en ce début de match en ratant ses passes. Même en défense, le manque de communication est flagrant : Vincent Muratori dégage en corner alors qu'il n'est pas menacé (3e).
Sur celui-ci, le ballon est repoussé dans les pieds de De Melo qui frappe dans une forêt de jambe. C'est à côté des buts de Ruffier (3e).
Monaco n'arrive pas à se défaire du pressing du Mans, et est souvent pris au piège du hors-jeu.
Sur une ouverture de Sessegnon, Grafite décale De Melo qui frappe comme elle vient. Largement à côté (9e).
Monaco pointe enfin le bout du nez. Bernardi lance Perez. Sa frappe est contrée par Basa (10e).
Débordement côté droit de Frédéric Piquionne, centre en retrait pour Koller. Le ballon lui reste dans les pieds, ne peut frapper et donne en retrait à Menez. La frappe est trop molle et sur Pelé (11e).
Si Monaco a eu du mal à se mettre en route, les meilleures occasions ont été sur le but sarthois.
Sueur froide pour Stéphane Ruffier, qui se troue sur un centre de Camara. Il est devancé par De Melo, mais heureusement le ballon roule dans les six mètres et sort en sortie de but (16e).
Le portier monégasque est plus serein sur un coup-franc de Romaric, qui passe pourtant juste au-dessus de sa transversale (21e).
Monaco sent qu'il vaudrait mieux prendre l'avantage et appuie encore.
Long dégagement qui arrive sur Piquionne dans le rond central. Contrôle parfait, passement de jambe et crochet extérieur pour partir à toute vitesse et éviter Camara. Sa frappe puissante et excentrée des 20 mètres est repoussée au premier poteau par Pelé (22e).
Récupération haute de Perez qui lance Piquionne sur la droite. Son tir croisé, trop, passe à côté du but (24e).
Piquionne est dans l'axe, à l'entrée de la surface et décale Jerko Leko sur la droite. Il feint le débordement, revient sur son pied gauche et adresse une balle lobée au second poteau pour la tête de Koller. Pelé repousse la tentative du géant tchèque (26e).
Jérémy Menez part dans une grande chevauchée et traverse le terrain en diagonale. Dans la surface, il tombe sur un tacle de Calvé et réclame un pénalty inexistant (27e).
Nouveau coup-franc pour Le Mans dans l'axe. Toujours Romaric pour le tirer. Ruffier capte facilement (29e).
Contre du Mans. Matsui remonte le ballon et décale pour Calvé sur le flanc gauche. Son centre retrouve le japonais, trop avancé. Il tente, et réussit, une talonnade aérienne qui trompe la défense monégasque et son dernier rempart (0-1, 31e).
Monaco est mené pour la première fois au Louis-II cette saison, sur un très joli but.
Le Mans continue d'appuyer où ça fait mal, avec Matsui qui est intenable. Bon retour de Vincent Muratori qui tacle en corner, qui sera repoussé par Perez (33e).
Nouveau coup-franc pour les sarthois. Grafite est servi aux 6 mètres et devance Ruffier pour un second but du Mans. Il est refusé pour un hors-jeu flagrant (34e).
En cette fin de période, Monaco s'énerve et ne réussit plus rien.
Un coup-franc bien placé est tiré par Cufré dans le mur.
Mais surtout Jérémy Menez qui donne un vilain coup de pied à Camara (41e). Un mauvais geste qui lui vaut un avertissement, mais fait monter la moutarde au nez des joueurs.
Forcément Camara se "fait justice" et s'essuie les crampons sur les chevilles de l'ancien sochalien.
Cet autre mauvais geste provoque une echauffourée où Perez et Romaric vont être avertis également (43e).
Avant la pause, Frédéric Piquionne a une nouvelle occasion de marquer, servi par Bernardi, mais son lob est mal dosé (45e).
Puis c'est Koller qui se prend les poings de Pelé derrière la tête dans un duel aérien (45e+1).
Au retour des vestiaires, Serge Gakpé remplace Diego Perez qui semblait traîner la jambe en fin de mi-temps (46e). Jerko Leko prend la place de l'urugayen devant la défense.
Corner pour Le Mans. Koller au premier poteau dégage. Menez hérite du ballon et recommence une nouvelle chevauchée qui l'amène dans la surface de réparation où il tombe à nouveau après un contact avec le gardien Yohann Pelé (48e).
Monsieur Jaffredo ordonne un pénalty que s'apprête à frapper Leandro Cufré.
L'argentin frappe en force, sur le côté gauche, et bat Pelé (1-1, 49e).
Il inscrit là son premier but en Rouge et Blanc.
Monaco est vite revenu au score et a encore une mi-temps pour l'emporter.
Le Mans n'a pas le temps de s'en remettre.
Un ballon est dégagé depuis le milieu du terrain et arrive vers la surface de Pelé, qui est obligé de sortir car Koller arrive. Il dégage le ballon qui rebondit, mais dévisse sa frappe.
Jérémy Menez a senti le coup, et depuis le rond central contrôle de la poitrine en pleine course, se retrouve face à deux adversaires qu'il élimine et prend de vitesse grâce à une aile de pigeon qui fait un grand-pont sur Basa, puis trompe Pelé venu à sa rencontre en plaçant le ballon hors de portée (2-1, 51e).
En 6 minutes, Monaco a renversé la situation grâce à un fantastique Jérémy Menez.
Sur les 10 dernières minutes de jeu, il a montré ses deux visages : Docteur Jérémy (qui lui a valu un jaune) et Mister Menez.
Monaco est conquérant. Les tacles sont vifs et précis, le pressing pesant.
En face, le moral est bas, et les frappes sont contrées ou facilement captées.
Avec un but d'avance, Monaco n'est pas encore à l'abri, et pousse.
Bernardi pour Gakpé côté droit. Son tir est trop croisé et rase le montant droit de Pelé (58e).
Jérémy Menez continue son festival, déborde. Il obtient des corners qui ne donnent rien.
Sur un tacle récupérateur de Leko, Menez hérite du ballon au niveau des 30 mètres de l'ASM. D'une longue ouverture, il trouve Piquionne côté gauche, qui prend de vitesse Basa, mais se ferme l'angle.
Pas de souci, crochet pour s'ouvrir l'angle, une petite touche de balle pour effacer Basa, et frappe en force au premier poteau à 8 mètres du but. Pelé touche le ballon mais est battu pour la troisième fois (3-1, 65e).
3-1 ! Frédéric Piquionne a enfin concrétisé une de ses nombreuses occasions de but. Il peut manifester sa joie.
Cette fois Le Mans n'arrivera pas à relever la tête de l'eau, même si sur un coup-franc, Romaric trouve le poteau droit de Ruffier, battu, avant qu'un autre manceau ne frappe au-dessus (69e).
Avec deux buts d'avance, Ricardo gère la fin de match et fait souffler Frédéric Piquionne, qui laisse sa place à Sylvain Monsoreau (70e).
Les chevauchées de Menez donnent idée à Matsui qui fait de même, mais n'arrive pas à pénétrer dans les 25 derniers mètres.
Ruffier n'est plus inquiété, Monaco gère facilement, grâce au bon travail défensif des attaquants, comme Jan Koller, toujours important dans le jeu aérien.
A quelques minutes de la fin, Jérémy Menez sort sous les applaudissements du public (85e).
L'homme du match cède sa place à Juan Pablo Pino.
Nouvelle victoire monégasque, la troisième consécutive, qui permet aux joueurs de Ricardo de grimper à la troisième place au classement, avant une semaine difficile ponctuée par deux déplacements à Lille (chez Claude Puel) et à Bordeaux, dans l'ancien jardin de l'entraîneur brésilien.
Dans le groupe retenu, il manque bien évidemment Mohamed Kallon (laissé libre par le club), Jaroslav Plasil (transféré à Osasuna), Anderson Luis De Carvalho «Nenê» (pas qualifié), Flavio Roma et Camel Meriem blessés.
Les remplaçants seront Emmanuel Vallaurio, Jérémy Berthod, Massamba Lô Sambou, Sylvain Monsoreau, Juan Pablo Pino, Serge Gakpé, Gonzalo Vargas.
Vincent Muratori est une nouvelle fois titularisé sur le côté gauche, Jerko Leko occupera la position de milieu droit.
Les premières impressions sont confirmées par l'annonce des deux équipes :
Avant la rencontre, Le Mans est déjà venu 3 fois en championnat au Louis-II, pour autant de défaite. Que ça continue encore !
Après le traditionnel avant-match, les entraîneurs vont vers leur banc, Ricardo en profite pour donner ses derniers conseils.
Le coup d'envoi est donné par les joueurs du Mans et leur duo offensif brésilien De Melo-Grafite, auteurs de 6 buts sur les 7 marqués par leur formation.
En face, Jan Koller et Frédéric Piquionne sont associés pour la première fois cette saison, le second se promenant sur les flancs de l'attaque et n'hésitant pas à venir aider ses partenaires en pressant la relance.
Monaco perd trop rapidement le ballon en ce début de match en ratant ses passes. Même en défense, le manque de communication est flagrant : Vincent Muratori dégage en corner alors qu'il n'est pas menacé (3e).
Sur celui-ci, le ballon est repoussé dans les pieds de De Melo qui frappe dans une forêt de jambe. C'est à côté des buts de Ruffier (3e).
Monaco n'arrive pas à se défaire du pressing du Mans, et est souvent pris au piège du hors-jeu.
Sur une ouverture de Sessegnon, Grafite décale De Melo qui frappe comme elle vient. Largement à côté (9e).
Monaco pointe enfin le bout du nez. Bernardi lance Perez. Sa frappe est contrée par Basa (10e).
Débordement côté droit de Frédéric Piquionne, centre en retrait pour Koller. Le ballon lui reste dans les pieds, ne peut frapper et donne en retrait à Menez. La frappe est trop molle et sur Pelé (11e).
Si Monaco a eu du mal à se mettre en route, les meilleures occasions ont été sur le but sarthois.
Sueur froide pour Stéphane Ruffier, qui se troue sur un centre de Camara. Il est devancé par De Melo, mais heureusement le ballon roule dans les six mètres et sort en sortie de but (16e).
Le portier monégasque est plus serein sur un coup-franc de Romaric, qui passe pourtant juste au-dessus de sa transversale (21e).
Monaco sent qu'il vaudrait mieux prendre l'avantage et appuie encore.
Long dégagement qui arrive sur Piquionne dans le rond central. Contrôle parfait, passement de jambe et crochet extérieur pour partir à toute vitesse et éviter Camara. Sa frappe puissante et excentrée des 20 mètres est repoussée au premier poteau par Pelé (22e).
Récupération haute de Perez qui lance Piquionne sur la droite. Son tir croisé, trop, passe à côté du but (24e).
Piquionne est dans l'axe, à l'entrée de la surface et décale Jerko Leko sur la droite. Il feint le débordement, revient sur son pied gauche et adresse une balle lobée au second poteau pour la tête de Koller. Pelé repousse la tentative du géant tchèque (26e).
Jérémy Menez part dans une grande chevauchée et traverse le terrain en diagonale. Dans la surface, il tombe sur un tacle de Calvé et réclame un pénalty inexistant (27e).
Nouveau coup-franc pour Le Mans dans l'axe. Toujours Romaric pour le tirer. Ruffier capte facilement (29e).
Contre du Mans. Matsui remonte le ballon et décale pour Calvé sur le flanc gauche. Son centre retrouve le japonais, trop avancé. Il tente, et réussit, une talonnade aérienne qui trompe la défense monégasque et son dernier rempart (0-1, 31e).
Monaco est mené pour la première fois au Louis-II cette saison, sur un très joli but.
Le Mans continue d'appuyer où ça fait mal, avec Matsui qui est intenable. Bon retour de Vincent Muratori qui tacle en corner, qui sera repoussé par Perez (33e).
Nouveau coup-franc pour les sarthois. Grafite est servi aux 6 mètres et devance Ruffier pour un second but du Mans. Il est refusé pour un hors-jeu flagrant (34e).
En cette fin de période, Monaco s'énerve et ne réussit plus rien.
Un coup-franc bien placé est tiré par Cufré dans le mur.
Mais surtout Jérémy Menez qui donne un vilain coup de pied à Camara (41e). Un mauvais geste qui lui vaut un avertissement, mais fait monter la moutarde au nez des joueurs.
Forcément Camara se "fait justice" et s'essuie les crampons sur les chevilles de l'ancien sochalien.
Cet autre mauvais geste provoque une echauffourée où Perez et Romaric vont être avertis également (43e).
Avant la pause, Frédéric Piquionne a une nouvelle occasion de marquer, servi par Bernardi, mais son lob est mal dosé (45e).
Puis c'est Koller qui se prend les poings de Pelé derrière la tête dans un duel aérien (45e+1).
Au retour des vestiaires, Serge Gakpé remplace Diego Perez qui semblait traîner la jambe en fin de mi-temps (46e). Jerko Leko prend la place de l'urugayen devant la défense.
Corner pour Le Mans. Koller au premier poteau dégage. Menez hérite du ballon et recommence une nouvelle chevauchée qui l'amène dans la surface de réparation où il tombe à nouveau après un contact avec le gardien Yohann Pelé (48e).
Monsieur Jaffredo ordonne un pénalty que s'apprête à frapper Leandro Cufré.
L'argentin frappe en force, sur le côté gauche, et bat Pelé (1-1, 49e).
Il inscrit là son premier but en Rouge et Blanc.
Monaco est vite revenu au score et a encore une mi-temps pour l'emporter.
Le Mans n'a pas le temps de s'en remettre.
Un ballon est dégagé depuis le milieu du terrain et arrive vers la surface de Pelé, qui est obligé de sortir car Koller arrive. Il dégage le ballon qui rebondit, mais dévisse sa frappe.
Jérémy Menez a senti le coup, et depuis le rond central contrôle de la poitrine en pleine course, se retrouve face à deux adversaires qu'il élimine et prend de vitesse grâce à une aile de pigeon qui fait un grand-pont sur Basa, puis trompe Pelé venu à sa rencontre en plaçant le ballon hors de portée (2-1, 51e).
En 6 minutes, Monaco a renversé la situation grâce à un fantastique Jérémy Menez.
Sur les 10 dernières minutes de jeu, il a montré ses deux visages : Docteur Jérémy (qui lui a valu un jaune) et Mister Menez.
Monaco est conquérant. Les tacles sont vifs et précis, le pressing pesant.
En face, le moral est bas, et les frappes sont contrées ou facilement captées.
Avec un but d'avance, Monaco n'est pas encore à l'abri, et pousse.
Bernardi pour Gakpé côté droit. Son tir est trop croisé et rase le montant droit de Pelé (58e).
Jérémy Menez continue son festival, déborde. Il obtient des corners qui ne donnent rien.
Sur un tacle récupérateur de Leko, Menez hérite du ballon au niveau des 30 mètres de l'ASM. D'une longue ouverture, il trouve Piquionne côté gauche, qui prend de vitesse Basa, mais se ferme l'angle.
Pas de souci, crochet pour s'ouvrir l'angle, une petite touche de balle pour effacer Basa, et frappe en force au premier poteau à 8 mètres du but. Pelé touche le ballon mais est battu pour la troisième fois (3-1, 65e).
3-1 ! Frédéric Piquionne a enfin concrétisé une de ses nombreuses occasions de but. Il peut manifester sa joie.
Cette fois Le Mans n'arrivera pas à relever la tête de l'eau, même si sur un coup-franc, Romaric trouve le poteau droit de Ruffier, battu, avant qu'un autre manceau ne frappe au-dessus (69e).
Avec deux buts d'avance, Ricardo gère la fin de match et fait souffler Frédéric Piquionne, qui laisse sa place à Sylvain Monsoreau (70e).
Les chevauchées de Menez donnent idée à Matsui qui fait de même, mais n'arrive pas à pénétrer dans les 25 derniers mètres.
Ruffier n'est plus inquiété, Monaco gère facilement, grâce au bon travail défensif des attaquants, comme Jan Koller, toujours important dans le jeu aérien.
A quelques minutes de la fin, Jérémy Menez sort sous les applaudissements du public (85e).
L'homme du match cède sa place à Juan Pablo Pino.
Nouvelle victoire monégasque, la troisième consécutive, qui permet aux joueurs de Ricardo de grimper à la troisième place au classement, avant une semaine difficile ponctuée par deux déplacements à Lille (chez Claude Puel) et à Bordeaux, dans l'ancien jardin de l'entraîneur brésilien.
Véro & Xav, au Louis-II.